Histoire de l’Anesthésie Africaine
Opportunités de fellowship WFSA pour les francophones
congrès de la SRLF 22-24 juin 2022
Bourses d’études pour le Congrès Panafricain d’Anesthésie
Formation présentielle de simulation en ventilation du « DIU EIVASION »
inscriptions gratuites au Congrès mondial d’Anesthésie
WFSA - English, Spanish and French Subtitles
Les bourses pour inscription au 17e Congrès mondial des anesthésiologistes, du
Global Cultural Adventurers (GCA),
SOINS CRITIQUES ET CHIRURGICAUX ET ANESTHESIQUES DANS LE CONTEXTE DE LA (...)
Bonjour, Nous sommes trois étudiants de...
Modification des statuts de l’ARS–WFSA
Contributions des etablissements d’enseignement des pays a haut revenu aux (...)
décembre 2018
La mortalite anesthésique dans les pays à revenu élevé (PRE) est très faible, en particulier pour les patients en bonne santé, de l’ordre d’un déces pour cent à deux cent mille cas, bien que la morbidité majeure soit de 3 % a 16 %.
Les pays a revenu intermédiaire ou faible (PRIF) souffrent d’un manque de disponibilité en équipement, tels que les oxymètres, les médicaments anesthésiques (y compris l’oxygène) et parfois même de l’absence de commodités de base comme l’eau et l’électricité. Dans une étude portant sur 22 PRIF (y compris l’Inde), Vo et coll. ont trouvé que 35 % des établissements étudiés n’avaient pas d’accès à l’oxygène, 50 % n’avaient pas d’accès continu aux machines d’anesthésie ou aux oxymetres de pouls et 40 % a 70 % des dispositifs ou équipements médicaux étaient brisés, inutilisés ou inadaptés aux besoins. Le manque de prestataires formés en anesthésie complique le problème. En fait, les PRE disposent de 20 a 30 médecins prestataires d’anesthésie pour 100 000 habitants tandis que dans les PRIF, le ratio est d’un pour 100 000 ; en Afrique subsaharienne, le nombre tombe à 0,1 pour 100 000 habitants.