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juillet 2014, par
, , , ,Objectif : Evaluer l’analgésie postopératoire in situ
Patients et Méthode : Etude prospective comparative portant sur l’évaluation de l’APO sur 2 groupes de patients opérés dans les services de gynécologie et d’obstétrique et de chirurgie générale durant une période de six mois du 1er juillet 2013 au 1er janvier 2014.
Le 1er groupe comportait 50 patients et avait reçu une APO ordinaire tandis que le 2ème groupe de 51 patients avait reçu une APO in situ. Les patients étaient choisis suivant leur option pour l’APO. Ceux qui optent pour l’APO par infiltration sont classés dans le groupe de l’APO in situ et ceux qui refusent sont classés dans le groupe de l’APO ordinaire.
Résultats Cent un patients des 2 groupes étaient opérés et ont eu une APO. Le 1er groupe comportait 51 patients et le second, 50 patients. Il y avait plus de femmes opérées (73) que d’hommes (28). L’anesthésie générale était plus réalisée (58,4%), deux types d’anesthésies locorégionales étaient réalisés : la rachianesthésie (38,6%) et la péridurale (3%).Deux types d’APO comparatives étaient réalisés : APO in situ (50,5%) et APO ordinaire (49,5%). Les anesthésiques locaux infiltrés étaient la Bupivacaïne (80,40%) et la Ropivacaïne (19,60%). la facilité de réalisation, l’apprentissage rapide et le faible coût étaient les atouts de l’infiltration in situ. Les effets secondaires étaient les prurits, nausées et les vomissements dans les cas. Conclusion L’infiltration in situ avait prouvé son efficacité en injection unique sans signe de toxicité. Les chirurgies réputées plus douloureuses nécessitant l’infiltration étaient l’ostéosynthèse et l’hystérectomie. L’analgésie in situ était uniquement réalisée avec la Bupivacaïne et la Ropivacaïne.
Mots clés : Analgésie- postopératoire, in situ, CHU, Lomé.